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Les Jolies Choses

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27 juillet 2006

Dark Omen II

Le week-end dernier, j'étais là :

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Dark Omen II : Grand festival goth organisé par ELEGY et Celtic Circle, avec le vendredi une prog plutot électronique, et le samedi du plus "traditionnel".

J'ai fait les deux jours, et je dois avouer que ce sont deux ambiances totalement différentes. Ne serait-ce qu'au niveau de la population : le premier jour tout plein de couleurs, surtout du fluo, mais avec le noir en dominante quand même, et beaucoup d'animation. Le second jour, tout était calme, limite on se serait demandé s'ils ne faisaient pas tous la sieste... Et niveau fringues, du beau, beaucoup de beau !

Vendredi, musique electro, assez cool dans l'ensemble, même si je suis pas une fan du délire, on se met à bouger sans s'en rendre compte ! Pas mal pour se défouler. Et puis entre potes, c'est vite plus sympa !

Samedi, bah j'ai bien cru que j'allais me sentir seule... Tous les potes électro, disparus ! et puis c'était tellement calme !
Finalement il y en a un qui s'est montré fidèle au poste, et on a passé une bonne journée. Les concerts étaient sympas, j'ai bien aimé Metallspurhunde, et bien sûr Das Ich ! que j'avais déjà apprécié la semaine précédente en Allemagne. Sauf que là-bas, ils étaient trois, et que là seulement deux. Pourquoi ? parce qu'il y en a un qui a tapé sur les policiers et qui donc s'est pris 90 jours de détention ! J'ai bien fait d'aller en Allemagne finalement !

Deux petits hics à ce festival, le premier, le retard sur la programmation des groupes qui prend un effet boule de neige et qui donc réduit la durée des soirées après, ce qui est un peu dommage, et le second, la pluie ! Même si les orages ont été magnifiques à voir dans la nuit de vendredi à samedi ! (j'adôôôôre les orages !). Vu que les salles étaient alternées et que celle qui n'acceuillait pas de concert était fermée, on se retrouvait tous au même endroit, entassés à mourir de chaud et plein de sueur, au lieu d'être trempé par la pluie. Choix difficile !

Mais sinon cela a été un week-end très sympa avec plein de bonne musique pour tout le monde, certaines qu'on apprécie plus que d'autres, quelques rencontres...

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28 mai 2006

Quels week-ends !

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Wouah ! Y a pas à dire, je viens de passer deux week-ends extraordinaires !

La semaine dernière j'ai commencé par le concert des Dresden Dolls au Bataclan, j'ai adoré, et je remercie encore l'ami qui m'a offert ma place. Le lendemain, soirée tranquille à mon habituel point de chute, avec une amie dont c'était l'anniversaire, avec une de ses copines que je n'avais croisée que quelques fois et qui vient de rentrer de Chine pour un mois, plus quelques autres potes. Le samedi, match de volley-ball du pote de fac d'une amie, je me suis découvert des talents de supportrice que je n'aurais jamais cru exister. Puis cavale pour arriver sur Paris et avoir encore des RER et des métro pour rejoindre une amie. On va en soirée, on y retrouve sa soeur, d'autres potes, il n'y avait personnes, c'était vide, le plaisir d'avoir de la place pour danser et pour se reposer quand on est épuisé. A la sortie, direction le point de chute qui est à moins de deux minutes, jusqu'à la fermeture, puis on a passé la matinée à discuter au café d'à côté, on en est partis à midi... Totalement satisfaite de ce week-end-là !

Cette semaine, quatre jours de week-end, je m'en suis perdue dans les jours qu'on était tellement c'était étrange. Moins rempli que le précédent, mais la soirée du samedi a tout comblé. Diner chez le copain d'une amie avec un pote, puis direction la soirée prévue, plein de monde que j'ai revu, plein de monde que j'ai rencontré, plein de musique, plein de tout... Et puis lui, après plusieurs mois de regards échangé, le dernier mois plus chargé que les autres, il s'est enfin décidé de faire fi de sa copine, est enfin venu me voir. Seul bémol, le jeu de cache-cache avec elle n'a pas permis grand chose, mais la patience est une qualité qui est mienne, va bien falloir qu'il arrive à lui faire comprendre que c'est fini, si c'est vraiment le cas. Ce qui semble l'être, parce qu'à les regarder, on se demande parfois s'ils sont vraiment ensemble... Patience, patience...

Je crois pouvoir conclure que la recette est simple, des amis, de la bonne musique, de nouvelles connaissances, le temps qui file sans qu'on s'en rende compte !

17 mai 2006

L'Algérie et moi

Quand l'Algérie était française... 1830-1962.

Emission spéciale sur M6 en ce mardi 16 mai 2006.

Alors que la polémique a été faite ces derniers mois sur le rôle de la colonisation française dans les pays colonisés, ce soir M6 a diffusé un documentaire retraçant toute l'histoire de la colonisation algérienne. Ou plutôt a diffusé des vidéos d'époque personnelles de pieds-noirs avec un commentaire et un léger historique.
Le documentaire visuel, par son format vidéo justement, n'est pas complet. Il est impossible de montrer des images du début du 19e siècle, et c'est bien normal. A la place, on diffuse des vidéos plus récentes, avec un commentaire, et quelques plans d'une mapemonde.
Puis viens l'arrivée des première images vidéos. Sans sons d'abord, puis vers 1960, on retrouve le son.
L'existance de ces images implique des caméras vidéos. Implique donc aussi des propriétaires de ces objets d'une classe privilégiée.
Se pose alors la question de l'exhaustivité, de l'objectivité de ce qui est montré.

Ce que j'ai ressenti :
Je n'ai pas appris grand chose, même rien. J'attendais beaucoup plus de ce documentaire, j'attendais l'histoire de mes grands-parents. J'attendais de comprendre pourquoi ils ont autant de ressentiment vis-à-vis de l'Algérie et des Algériens.
Je comprends ce qui leur est arrivé, se faire jeter hors de ce qu'ils considéraient comme leur pays, leur chez eux. Mais aussi toute cette violence qui a précédé l'exode. Je comprends ce qui a pu pousser les Algériens à vouloir récupérer leur pays, leur terres... Ce que je ne comprends pas, c'est toute cette violence.

Je rêve d'aller dans ce pays, de me rendre dans les endroits fréquentés par mes ancêtres, de voir les paysages, les rues, les gens qui ont fait partie du quotidien de ma famille.
Je cherche à comprendre mes grands-parents, à apprendre d'eux, mais il ne raconte pas. Quand je pense à eux et à l'Algérie, je ne vois que cette photo de tous les deux en amoureux dans la rue avec leur chaperon, une nièce de ma grand-mère si je me souviens bien. J'ai vu dans le film l'insouciance dans laquelle vivait les européens dans ce pays. Est-ce cela qui leur manque tant, qui leur a été arraché ?
Il ne raconte jamais rien, je n'arrive pas à leur faire me raconter. Il n'y a que quelques choses que je connais, des choses racontées par le biais d'anecdotes, de petites histoires. Je sais qu'en rentrant en France, cela a été l'enfer. Mon père a appris à lire sur les panneaux publicitaires qu'ils croisaient sur la route. Il a changé 6 fois d'école en 4 année d'école primaire. Un exode qui n'a pas pris fin une fois le trajet Algérie-France terminé, mais un exode qui s'est poursuivi encore de nombreuses années, à passer de chez l'un à chez l'autre, sans avoir de véritable chez soi, le temps d'avoir les moyens de s'en créer un.
Ca me pèse, de ne pas les comprendre là-dessus. Et quand le sujet arrive, ce n'est jamais dans de bonnes conditions, et je me retrouve face à un mur qui ne veut pas parler.

Il y a tous ces gens qu'ils connaissent, des pieds-noirs, d'autres qu'ils ont rencontré au cours de leur vie.
Il y a cette association, "L'Algérianiste", dont ils sont membres et qui me semble être une réunion de pieds-noirs en mémoire à la vie en Algérie, à ce qu'ils ont subi, à ce qu'ils ont perdu.
Il y a ce livre de Yann Arthus-Bertrand, ce livre de photographie qu'on leur a offert et qu'il n'aime pas. Il ne l'aime pas car ils ne retrouvent pas les "vraies" couleurs de l'Algérie, comme si les photographies avaient été retouchée, comme si elles avaient été prises sous des conditions tellement précises et déformées qu'elles ne sont pas représentatives. Il y a aussi d'autres livres dans ce cas, des émissions de TV qui sont décortiquées, critiquée sur certains points, d'autres louées.
Il y a toutes ces revues, ces autres livres, ces amis avec lesquels ils parlent du passé.
Il y a leur contribution active à se souvenir, par presque tous les moyens possibles.

Sont-ce des regrets qu'ils expriment ?

Qui suis-je moi, par rapport à cette Algérie ? Mes grands-parents sont de grands blessés de l'Algérie. Certains de mes amis sont Algériens. Certains de mes ex-petits amis aussi... C'est toujours quand je parle de ces amis que les remarquent tombent. C'est vrai que ce qui les représentent en premier c'est leurs prénoms. Et oui, leurs prénoms informent de leurs origines. Alors j'ai droit à des remarques "Ah, tu as des amis Arabes!" Oui Mamy, j'ai des amis arabes. Et non Mamy ils n'ont rien à voir avec ce que tu as vécu. Mais ça elle ne veut pas le comprendre, pour elle, ils font tous partie du même lot, avec différents niveaux de culpabilité quand même. Un Marocain passe mieux qu'un Kabyle qui passe mieux qu'un Algérien du nord.
J'ai eu l'occasion de discuter avec une amie qui est dans la même situation que moi. Il s'avère qu'elle a le même problème. A la différence que ses grands-parents à elle sont retournés en Algérie, sont retournés voir les amis algériens d'alors qu'ils avaient. Les miens non. Je me demande si je ne devrait pas les replonger dans ce pays, partir avec eux pour qu'ils y retournent au moins une fois, et puis ce serait l'occasion pour moi aussi de discuter de tout cela avec eux.

En attendant, je ne sais pas trop qui je suis vraiment. Je me sens algérienne quelque part, mais une française algérienne frustrée. Je regrette souvent de ne pas avoir l'occasion de savoir ce qui se serait passé si les choses n'avaient pas changées, si mes grands-parents et par la même occasion mon père étaient restés là-bas.
Chaque fois que j'y pense, j'ai un noeud dans la gorge, je suis triste pour eux, peut-être pour moi aussi de ne pas connaître tout cela.

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7 mai 2006

Je me suis affolée pour rien...

Ce matin en rentrant de ma soirée, un mec m'a abordée dans le RER pour me questionner sur mon "style". Du coup je lui ai donné des réponses, celles qui me font comprendre pourquoi je suis ma voie, celle-ci et non une autre.

Non je ne suis pas prisonnière de moi-même, juste de mon mode de pensée, qui n'a rien d'affolant, que je revendique, etc. J'ai compris que j'en été arrivée là par ce que j'avais vécu, par mes réflexions, mes constats, mes ressentits. Et il s'avère que j'ai trouvé le "monde" dans lequel je peux les partager, les exploiter.

Donc non je ne suis pas prisonnière de moi-même, j'ai juste trouvé le moyen d'évoluer par moi-même, et le cadre qui me permet de le faire. Et oui, je suis heureuse comme ça. Et non je ne dois pas avoir honte de ce que je ressens parfois par rapport à ce qui m'entoure.

5 mai 2006

Prisonnière de moi-même ?

Maintenant que j'ai l'impression de m'être trouvée, d'avoir trouvé ce qui me semble être mon vrai moi, je me demande parfois si je ne me condamne, ne m'enferme moi-même. Je passe peut-être à côté de plein de choses sans m'en rendre compte. Quoique si, je sais qu'il y a des choses que je ne connaitrais jamais. Souvent parce que je n'aime pas. Mais quel sont les critères qui font qu'on aime ou pas une chose. Est-ce une question d'éducation, de vécu, ou cela n'a-t-il rien à voir ?

J'ai trouvé mon monde, un univers dans lequel je me sens bien, une musique qui va avec, des soirées qui vont avec, de nouvelles connaissances qui vont avec... Mais par peur de perdre tout cela, ne serait-il pas possible que je me mure dans une certaine vision des choses, une certaine musique à écouter ? Serais-je capable de revenir dans un monde plus "grand public" ? Je souffre de porter certains vêtements, je ne le fait que pour mes grands-parents, les gens que je ne vois pas assez souvent pour qu'ils aient compris mon évolution. Et quand j'agis de la sorte, je ne suis pas toujours à l'aise. La mère d'une amie qui est styliste l'avait compris, sans qu'on ne lui dise rien. Est-on ce qu'on est au-delà de ce qui constitue notre univers, même quand on essaie de le cacher ?

Ce que je vis, j'ai l'impression de le vivre pour échapper à une certaine norme qui sévit de nos jours. Mais quand je pense aux autres personnes qui sont dans le même monde, est-ce que je leur ressemble ? Je suis souvent rattachée à un groupe par les "extérieurs", mais les "intérieurs" que pensent-ils de mon appartenance à leur "groupe" ? Moi je ne veux pas devenir leur copie conforme, mais je ressens parfois le besoin de reconnaissance du groupe auquel je prétends appartenir. Tout en voulant pourtant garder mes particularités.

Certes nous sommes des êtres uniques, mais le rapprochement tant culturel que comportemental entre les êtres est indéniable, inévitable. Et s'il n'existait pas, que serions-nous, que deviendrions-nous ?

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28 avril 2006

Je reste curieuse

dsc036901Bien, maintenant que tout est dévoilé, que les gens entre eux ont parlé, que la mesure de son mensonge a été faite, que les conflits qu'il a créés se sont estompés, que des gens reviennent me parler, se reparlent, parlent tout court...

Maintenant que tout va bien, que nous nous employons à le détruire, que nous cherchons à le bouter hors de Paris, qu'il ne peux plus fréquenter ses "points de chute", que son père reconnait ce qu'il est...

La fin d'un mythe, d'une douleur. Une nouvelle qui se répend... Vite, très vite. On ne le verra plus débarquer comme un roi qu'il n'a jamais été à n'importe quel moment, à n'importe quel endroit.

J'aimerais être une petite souris, pour pouvoir le suivre, et assister à sa décadence. Le voir se faire interdire des endroits que je fréquente.

Je suis sereine désormais, je sais que je ne le croiserais plus.
Et quand bien même ! Je sais très bien que maintenant, je suis capable de l'envoyer balader.

Je ne suis plus la soumise, à attendre quelque chose de lui, à vouloir l'aider. Ma patience a ses limites. Me prendre pour une conne trop longtemps ne paie pas. J'ai été la première à le jeter, je suis la première à être heureuse que les autres se réveillent aussi.

Toutes ces choses sur lesquelles il a menti, toutes ses manigences, elles ne m'atteindront plus ! La vie de l'autre qu'il s'appropriait, les mauvaises réputations qu'il créaient, elles n'existent plus, la vérité a été dévoilée, et j'en suis plus qu'heureuse.

28 avril 2006

Heureuse

J'ai retrouvé ma quiétude.
Je n'ai plus l'impression
De jouer la parano de service
Maintenant ils savent...

Il a enfin été démasqué
Je ne suis plus seule
A me demander
Si c'était la vérité.

Tout seul il s'y est plongé,
Dans un enfer de rejet.
Plus personne ne veux de lui,
On n'en entendra plus parler.

Ou plutot si
Pour se dire qu'il erre,
Seul avec son chien
A la recherche de nouvelles victimes ?

Suicide social,
Pour moi c'était le silence
Mais lui,
C'est le mensonge qu'il a choisi

Aux mauvaises personnes
Il s'en est pris
En est finalement arrivé
A ce que l'on peut appeler sa fin.

25 avril 2006

Regards des autres

Pourquoi certains jours je me fais dévisager par la moitié du wagon du RER et du métro, alors que ce n'est pas forcément le jour où je porte mes fringues les plus "dérangeantes" auprès de la population moyenne, ni que j'ai forcé sur le maquillage, bref les jours où rien ne pourrait faire que je fasse plus "tâche" que d'autres ? Du coup dès que je peux trouver une glace, je vérifie si je n'ai pas un énorme bouton ou trait de crayon au milieu du visage... Mais non, y a rien... Ou alors peut-être est-ce parce que ces jours-là je fais moins peur, alors les gens osent plus me fixer... Mais j'ai rien fait moi ! Foutez-moi la paix !
25 avril 2006

La TV

Hier soir, je me suis énervée. Je me suis énervée une première fois, sans rien dire, parce qu'en passant devant le salon, j'entends que ma mère regardait le téléfilm de TF1 digne de ceux diffusés d'habitude sur M6, où il n'est question que de fin du monde, de maladie destructrice de l'humanité par le biais d'animaux mutants... La deuxième fois, c'est quand je l'ai entendu appeler mon frère en lui disant "viens ça recommence". Je jette un coup d'œil à l'écran, et ô malheur, le visage Laurent Fontaine m'apparaît ! "Y a que la vérité qui compte", y a que ça de vrai on dirait! Quand en plus j'ose demander quelles sont les retrouvailles prévues, et que j'apprends que ce sont deux jeunes femmes qui veulent tenter leur chance avec un mec qu'elles ont vu à la télé un jour, j'ai eu envie de balancer un truc dans l'écran. Mais quand je réalise que ma mère et mon frère participent à cette démonstration de conneries très très poussée, j'ai eu envie de vomir. On nous sert de la daube, on nous montre des gens pathétique, et les gens regardent, et ma famille regarde, juste parce que c'est "marrant". Je ne trouve pas ça vraiment marrant. Moi ce qui me fait rire, c'est les films que j'aime, des vrais, même si ce ne sont pas des comédies, c'est les blagues plus ou moins drôles de mon entourage, passer de bons moments avec mes amis, me rendre compte qu'en ce moment je suis heureuse (enfin ! de nouveau)... Pas regarder des gens pitoyables exploités par des mecs qui font de l'argent sur leur dos en quête d'audimat et donc prêts à présenter les plus grandes daubes de tous les temps ! Mais ce qui m'a le plus énervée je pense, c'est de voir ma famille rejoindre le niveau de connerie de la majorité de la population française à ce jour... Population qui me désole de plus en plus chaque jour...
20 avril 2006

Concert de Sisters Of Mercy 14-04-2006 au Zénith

"Connait pas !" : c'est ce que beaucoup de gens m'ont répondu lorsque je leur ai parlé du concert auquel j'allais. Ça m'a fait bizarre qu'on me dise ça, parce que je croyais que c'était un groupe que tout le monde connaissait... Et puis c'est tellement vieux aussi ! Mais peut-être que ce n'est qu'une impression que j'ai, de les connaître depuis aussi longtemps, parce que si j'y réfléchis ça fait pas si longtemps... C'est sûrement parce que j'adooooore !

Je ne vais pas pouvoir en dire grand chose, parce que moi la musique je ne fais que l'écouter, et je suis bien incapable de donner un titre ou le nom du groupe de la majorité de ce que j'écoute. Je peux néanmoins dire que c'est un groupe né dans en 1980 et considéré comme un précurseur de la batcave (si je ne me trompe pas...). Si vous souhaitez d'autres infos, je ne peux que vous conseiller de faire un petit tour sur cette merveilleuse chose qu'on appelle le web. Et puis en plus je ne suis pas là pour faire du copier-coller

Bref, quand j'ai entendu parler du concert, je n'avais pas d'autre choix que d'y aller. Comme beaucoup d'autres de mes connaissances d'ailleurs... J'ai donc pris mes places 2 mois à l'avance, histoire d'être sûre d'en avoir, avec une amie.  Au fil du temps, à force de discuter avec plein de monde, je me suis rendu compte que justement ce plein de monde avait également sa soirée du 14 avril de réservée. Sauf qu'il s'est avéré que la seule personne que j'étais totalement persuadée qui y serait n'y était pas... Désolée pour elle. Le fait est que je n'ai pas vu grand monde, parce que même le Zénith pas plein, ça fait du monde quand même ! Et la seule que j'ai retrouvée, j'aurais pas pensé qu'elle serait là. Comme quoi, il ne faut jamais se fier à la logique.

Le Concert a commencé avec un écran de fumée pendant 20 bonnes minutes sinon plus, et de fait on ne voyait pas le groupe. À tel point qu'à un moment je me suis demandée si ce n'était pas fait exprès parce qu'en fait ce n'était pas le groupe qui était là. Ça a été mon petit moment "joke" de la soirée. Mais avec les éclairages, quand on regardait les bords du nuage, c'était magnifique. Et puis comme ça on pouvait aussi se laisser porter par la musique, les yeux fermés, sans craindre de perdre visuellement quelque chose du concert. Mais ensuite, la fumée s'est dispersée et on a pu mieux voir. Certaines de mes connaissances présentes, m'ont avoué ne pas toujours avoir tout de suite reconnu des chansons pourtant très connues. Moi ça a été, chaque mélodie que je connaissais, je la détectais dès le début. En ce qui concerne le son, une peu déçue, mais je ne m'attends jamais à ce que ce soit le nirvana. D'ailleurs est-ce qu'il existe le concert avec un son parfait de la fosse jusqu'en haut des gradins et pour toutes les chansons ? Je ne pense pas.

En tout cas j'ai passé un excellent moment et je me suis même permis de me lever pour danser pour la dernière chanson du dernier rappel.

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